C G Dm F Ab Db Ebm Gb A D] Chords for Mon Coeur te dit Je t'aime with song key, BPM, capo transposer, play along with guitar, piano, ukulele & mandolin.
Le 28 juin JĂ©sus dit "Soyez parfaits, vous tous que j’aime d’un amour privilĂ©giĂ©. Vivez en anges, vous qui constituez ma cour sur terre". Si l’invitation aimante Ă ĂŞtre parfaits comme mon Père[1] est faite Ă tous, elle devient un doux commandement pour ceux que j’ai choisis pour mes amis et intimes. ĂŠtre de mes disciples — non au sens gĂ©nĂ©ral qui s’applique Ă tous les chrĂ©tiens, mais au sens propre du nom dont j’appelais mes douze disciples et amis — est un grand honneur mais qui comporte un grand devoir. La petite perfection ne suffit plus, c’est-Ă -dire ne pas commettre de fautes graves et obĂ©ir Ă la Loi dans ses règles les plus spĂ©cifiques. Il faut atteindre aux raffinements de la perfection, observer la Loi dans ses plus dĂ©licates nuances, je dirais mĂŞme l’anticiper avec quelque chose en plus. Comme les enfants qui ne se contentent pas d’aller vers la maison du père en marchant Ă cĂ´tĂ© de celui qui les y amène, mais qui passent devant en courant, tout joyeux, surmontant la fatigue et les obstacles d’un sentier plus ardu pour pouvoir arriver plus vite, car leur amour les Ă©peronne. La maison de votre Père est au Ciel; l’amour est ce qui vous Ă©peronne Ă surmonter, en volant, toute difficultĂ© pour atteindre rapidement le Ciel oĂą le Père vous attend, les bras dĂ©jĂ ouverts, prĂŞts Ă vous Ă©treindre. Donc, non seulement mon disciple doit obĂ©ir Ă la Loi dans les choses importantes que j’ai imposĂ©es Ă tous, mais il doit interprĂ©ter mon dĂ©sir, mĂŞme non exprimĂ©, que vous fassiez le maximum de bien que vous pouvez, dĂ©sir que l’amant comprend car l’aÂmour est lumière et savoir. Je vais maintenant t’expliquer deux points de l’Évangile, l’un de Matthieu[2] et l’autre de Luc [3]. En rĂ©alitĂ©, il s’agit d’une seule parabole, mais exprimĂ©e avec quelques diffĂ©rences. Il ne faut pas s’étonner qu’on trouve de telles diffĂ©rences chez mes Ă©vangĂ©listes. Lorsqu’ils Ă©crivaient ces pages, c'Ă©taient encore des hommes, dĂ©jĂ Ă©lus mais pas encore glorifiĂ©s. Ils pouvaient donc commettre des bĂ©vues, faire des erreurs, de forme et non de substance. Il n’y a que dans la gloire de Dieu qu’on ne se trompe plus. Mais pour l’atteindre, ils devaient encore beaucoup lutter et seul des Ă©vangĂ©listes rapporte ce que je dis avec une exactitude phonographique. Mais c’était le pur et l’amoureux. RĂ©flĂ©chis Ă cela. La puretĂ© et la charitĂ© sont si puissantes qu’elles permettent de comprendre, de se rappeler, de transmettre ma parole sans erreur, pas mĂŞme d’une virgule ou d’une rĂ©flexion. Jean Ă©tait une âme sur laquelle l’Amour Ă©crivait ses paroles, et il pouvait le faire car l’Amour ne se pose que sur les cĹ“urs purs et n’a de contact qu’avec eux, et Jean Ă©tait une âme virginale, aussi pure que celle d’un petit enfant. J’ai n’ai pas confiĂ© ma Mère Ă Pierre, mais Ă Jean, car la Vierge devait rester avec le vierge. Souviens-toi de ceci Dieu ne communique pas les substances spirituelles qui rendent Ă l’âme cette fraĂ®cheur candide, laquelle attire mon regard et obtient ma parole, Ă qui n’a pas la puretĂ© du cĹ“ur, conservĂ©e depuis la naissance ou regagnĂ©e par un travail assidu de pĂ©nitence et d’amour. Donc, mes Ă©vangĂ©listes racontent qu’un personnage — l’un nous dit que c’est un roi, l’autre laisse entendre qu’il s’agit d’un riche seigneur — donna un grand banquet, probablement de noces, et y invita un grand nombre d’amis. Mais ceux-ci allĂ©guèrent des excuses, dit Luc, et s’en moquèrent, renchĂ©rit Matthieu. Malheureusement, avec votre Dieu vous n’allĂ©guez mĂŞme pas d’excuses et vous rĂ©pondez souvent Ă ses invitations en vous en moquant. Alors le seigneur du banquet, après avoir puni les mal Ă©levĂ©s, pour ne pas gaspiller les aliments dĂ©jĂ prĂ©parĂ©s, envoya ses serviteurs chercher tous les pauvres, les boiteux, les estropiĂ©s, les aveugles qui Ă©taient autour de la maison, en attente des restes, ou qui accouraient de partout, partagĂ©s entre la crainte et le besoin. Il ordonna de leur ouvrir la salle et de les faire asseoir Ă table après les avoir lavĂ©s et vĂŞtus comme il se doit. Mais la salle n’était pas encore pleine. Alors le riche seigneur ordonne aux serviteurs de sortir de nouveau et d’inviter n’importe qui, mĂŞme en utilisant une douce violence. Entrent ainsi, non seulement les pauvres qui errent dans le voisinage des riches, mais aussi ceux qui n’y pensent pas, convaincus de ne pas ĂŞtre connus du seigneur et de n’avoir besoin de rien. Quand la salle fut comble, le riche seigneur entra et il remarqua un invitĂ© - on ne prĂ©cise pas si c’était un pauvre ou un passant, mais c’est un dĂ©tail sans importance — qui avait enlevĂ© son habit de noces, ce qui fait penser que c’était un passant riche et orgueilleux et non un pauvre convaincu d’être un nĂ©cessiteux. Alors le seigneur indignĂ©, voyant qu’on mĂ©prisait son don et qu’on piĂ©tinait le respect dĂ» Ă la demeure de l’hĂ´te, le fit chasser car aucune contamination ne doit entrer dans la salle de noces. Maintenant je vais t’expliquer la double parabole. Les invitĂ©s sont ceux que j’appelle par une vocation spĂ©ciale, une grâce gratuite que j’accorde comme une invitation Ă l’intimitĂ© avec moi-mĂŞme dans mon palais, comme Ă©lection Ă ma Cour. Les pauvres, les aveugles, les manchots, les difformes sont ceux qui n’ont pas reçu d’appel spĂ©cial ou d’aide particulière, qui, par leurs seuls moyens, n’ont pas pu conserver ou obtenir la santĂ© et la richesse spirituelles, mais, au contraire, ont aggravĂ© leur malheur par de naturelles imprudences. Ce sont, en d’autres termes, les pauvres pĂ©cheurs, les âmes faibles et difformes qui n’osent se prĂ©senter Ă la porte, mais rĂ´dent aux alentours du palais en attendant une misĂ©ricorde qui leur redonne des forces. Les passants pressĂ©s, qui ne se soucient pas de ce qui se passe dans la demeure du Seigneur, sont ceux qui vivent dans les religions plus ou moins rĂ©vĂ©lĂ©es ou dans leur religion personnelle qui s’appelle argent, affaires, richesses. Ceux-ci croient ne pas avoir besoin de me on constate que souvent ceux qui ont Ă©tĂ© appelĂ©s nĂ©gligent mon appel, s’en dĂ©sintĂ©ressent, prĂ©fèrent s’occuper de choses humaines au lieu de se consacrer aux choses surnaturelles. Alors je fais entrer les pauvres, les aveugles, les boiteux, les difformes; je les revĂŞts de l’habit de noces, je les fais asseoir Ă ma table, je les dĂ©clare mes invitĂ©s et je les traite en amis. Et j’appelle aussi ceux qui sont en dehors de mon Église, je les attire avec insistance et courtoisie, je les contrains mĂŞme avec une douce violence. Dans mon Royaume, il y a de la place pour tout le monde, et ma joie consiste Ă vous faire entrer nombreux. Mais malheur Ă ceux que j’ai Ă©lus par vocation et qui me nĂ©gligent, prĂ©fĂ©rant se consacrer Ă des choses naturelles. Et malheur Ă ceux qui, accueillis avec bienveillance mĂŞme s’ils ne le mĂ©ritaient pas, et revĂŞtus par ma magnanimitĂ© de la grâce qui recouvre et annule les laideurs, enlèvent leur habit de noces, manquant ainsi de respect envers moi et ma demeure oĂą rien d’indigne ne doit circuler. Ils seront expulsĂ©s du Royaume car ils auront piĂ©tinĂ© le don de Dieu. Des fois, parmi les pĂ©cheurs et les convertis, je vois des âmes si belles et si reconnaissantes que je les choisis pour Ă©pouses Ă la place des autres que j’avais appelĂ©es et qui m’ont repoussĂ©. Toi, Maria, tu Ă©tais une pauvresse, une mendiante affamĂ©e, anxieuse, sans vĂŞtements. Après avoir essayĂ© par toi-mĂŞme de rassasier ta faim, de calmer ton anxiĂ©tĂ©, de recouvrir tes misères, sans y rĂ©ussir, tu t’es approchĂ©e de ma demeure ayant compris qu’en elle seule il y a paix et rĂ©confort vĂ©ritable. Et moi, je t’ai accueillie, te mettant Ă la place d’une autre qui, appelĂ©e par moi, a rejetĂ© la grâce[4], et te voyant reconnaissante et pleine de bonne volontĂ©, je t’ai choisie pour Ă©pouse. L’épouse ne reste pas dans la salle de banquet. Elle pĂ©nètre dans la chambre de l’époux et en dĂ©couvre les secrets. Mais malheur Ă toi si la bonne volontĂ© et la reconnaissance s’assoupissaient en toi. Tu dois continuer Ă travailler pour me plaire toujours davantage. Travailler pour toi, pour me remercier de t’avoir appelĂ©e; travailler pour l’autre âme, qui a repoussĂ© les noces mystiques, pour qu’elle se convertisse et revienne Ă moi. Qui c’est, tu le sauras un jour. Maintenant, nourris-toi Ă ma table, habille-toi de mes vĂŞtements, rĂ©chauffe-toi Ă mon feu, repose-toi sur mon cĹ“ur, console-moi des dĂ©fections des Ă©lus, aime-moi par reconnaissance, aime-moi pour rĂ©parer, aime-moi pour obtenir, aime-moi pour augmenter tes mĂ©rites. Je donne la robe nuptiale Ă celle que j’aime d’un amour de prĂ©dilection. Mais la bien-aimĂ©e doit, par une vie d’une perfection angĂ©lique, l’orner toujours plus. Tu ne dois jamais dire ’C’est assez’. Ton Époux et Roi est un tel Seigneur que la robe nuptiale de la mariĂ©e doit ĂŞtre garnie de pierres prĂ©cieuses afin d’être digne d’habiller l’élue appelĂ©e Ă s’asseoir dans le palais de son Seigneur". JĂ©sus dit encore “Cette fois, je me montre Ă toi sous un autre aspect. L’Eucharistie est Chair, mais elle est Sang aussi. Me voici sous l’aspect du Sang. Regarde comme il exsude et ruisselle sur mon visage dĂ©figurĂ©, comme il coule le long de mon cou, sur ma poitrine, sur ma tunique, douÂblement rouge car trempĂ©e de mon Sang. Regarde comme il mouille mes mains liĂ©es et descend jusqu’aux pieds, au sol. Je suis vraiment celui qui presse le raisin dont parle le prophète, mais c’est moi que mon amour a pressĂ©. Bien peu nombreux sont ceux qui savent Ă©valuer le prix infini de ce Sang, que j’ai prodiguĂ© jusqu’à la dernière goutte pour l’HumanitĂ©, et jouir de ses très puissants mĂ©rites. Je demande maintenant Ă celui qui sait le regarder et comprendre d’imiter VĂ©ronique et d’essuyer avec son amour le visage ensanglantĂ© de son Dieu. Je demande maintenant Ă celui qui m’aime de panser avec son amour les blessures que les humains ne cessent de me faire. Je demande maintenant surtout de ne pas laisser ce Sang se perdre, de le recueillir avec une attention infinie, jusqu’à la plus petite goutÂte, et de le rĂ©pandre sur ceux qui ne se soucient pas de mon sang. Au cours du mois qui s’achève, je t’ai beaucoup parlĂ© de mon CĹ“ur et de mon Corps dans le Sacrement. Maintenant, pendant le mois de mon Sang, je te ferai prier Ă mon Sang. Dis donc ceci "Très Saint Sang qui jaillis pour nous des veines du Dieu fait homme, descends comme une rosĂ©e rĂ©demptrice sur la Terre contaminĂ©e et sur les âmes que le pĂ©chĂ© rend semblables Ă des lĂ©preux. VoilĂ je t’accueille, Sang de mon JĂ©sus, et je te rĂ©pands sur l’Église, sur le monde, sur les pĂ©cheurs, sur le Purgatoire. Aide, rĂ©conforte, purifie, allume, pĂ©nètre et fĂ©conde, Oh ! Très divin Suc de Vie. Et que l’indiffĂ©rence et le pĂ©chĂ© ne t’empĂŞchent pas de couler. Au contraire, pour le petit nombre de ceux qui t’aiment, pour le nombre infini de ceux qui meurent sans toi, accĂ©lère et rĂ©pands sur tous cette très divine pluie afin qu’on vienne Ă toi confiant en la vie, que par toi on soit pardonnĂ© dans la mort, qu’avec toi on entre dans la gloire de ton Royaume. Ainsi soit-il". Ça suffit maintenant. Ă€ ta soif spirituelle je tends mes veines ouvertes. Bois Ă cette source. Tu connaĂ®tras le Paradis et la saveur de ton Dieu, saveur qui ne te manquera jamais si tu sais toujours venir Ă moi les lèvres et l’âme purifiĂ©es par l’amour.” Mon JĂ©sus avait commencĂ© Ă parler Ă quatre heures du matin, dans les pauses de mon demi-sommeil. La parole descendait comme une goutte de lumière dans les rĂ©veils et s’abĂ®mait dans les retours du sommeil parce que je suis si fatiguĂ©e, si Ă©puisĂ©e... C’était comme si JĂ©sus Ă©tait penchĂ© sur mon lit et me disait un mot de temps en temps. MĂŞme quand vint l’heure de m’asseoir et de bouger, secouant le sommeil, ces mots qui avaient Ă©tĂ© rĂ©pĂ©tĂ©s maintes fois, comme le refrain d’une berceuse spirituelle, brillèrent vivement dans mon esprit. Ce sont les deux premières phrases du premier passage du 28 “Soyez parfaits... Vivez en anges”. Derrière elles se dĂ©roulèrent les autres phrases. Il restait bien peu Ă dire quand vous[5] ĂŞtes arrivĂ© avec la Sainte Communion. Et tout Ă©tait fini peu après. L’autre passage, comme vous pouvez facilement comprendre, est une vue intĂ©rieure est-ce que ça se dit ? de mon JĂ©sus blessĂ© et ruisselant de sang. Ce n’est pas le beau JĂ©sus des autres fois, vĂŞtu de blanc, ordonnĂ©, majestueux, ni l’Enfant resplendissant de la dernière fois, qui souriait du sein de sa un JĂ©sus triste, très triste, dont les larmes se mĂŞlent au sang, un JĂ©sus contusionnĂ©, dĂ©peignĂ©, sale, la tunique dĂ©chirĂ©e, les mains liĂ©es et la couronne bien enfoncĂ©e sur la tĂŞte. Je vois distinctement la couronne de grosses Ă©pines, pas longues mais serrĂ©es, qui pĂ©nètrent dans les chairs et les Ă©corchent. Chaque cheveu a sa goutte de sang et le sang ruisselle du front sur les yeux, le long du nez, descend le long de la barbe et du cou, sur la tunique, tombe goutte Ă goutte sur les mains et semble plus rouge tant elles sont pâles, mouille la terre après avoir mouillĂ© les pieds. Mais le plus triste Ă voir est le regard... Il demande pitiĂ© et amour, et trahit sous une mansuĂ©tude rĂ©signĂ©e, une douleur aussi [6], si j’en Ă©tais capable, je voudrais pouvoir le dessiner pour vous et pour moi. Parce que, Ă bien y penser, je ne connais aucun tableau de JĂ©sus et de Marie qui ressemble Ă ce que je vois. Ni dans les traits, ni dans l’expression. Celle-ci en particulier fait dĂ©faut dans les tableaux des maĂ®tres. Mais, devenir peintre, moi... Rien n’est impossible Ă Dieu, c’est vrai, mais c’est en demander un peu trop !... Et je crois que le bon Dieu n’en fera rien, aussi pour que je n’éprouve pas de complaisance...[1] Cf. Matthieu 5, 48.[2] Matthieu 22, 1-14 – Cf. EMV Luc 14, 16-24. Cf. EMV Voir aussi EMV On ignore de qui il s'agit, mais on peut supposer qu'il s'agit d'une contemporaine. Les mystiques voyantes, telles Anne-Catherine Emmerich XIXe siècle ou Marie d'AgrĂ©da XVIIe siècle ont eu, elles aussi, leur martyre acceptĂ©. C'est la malignitĂ© des hommes parfois partant d'une bonne intention comme pour Clemens Brentano qui a perverti la transcription de leurs visions SiteForum chrĂ©tien catholique pour l'EvangĂ©lisation par la Parole de Dieu et par la prière selon le Temps liturgique mise Ă jour quotidiennement bonne visite Ă tous ♥LETRALa maison a l'air plus grande,Surtout la chambre,Il ne reste rien de toi que ton parfum,Je dĂ©couvre en ton absence,Un vide immenseEn voyant s'ouvrir les roses du jardin,Je vis près du tĂ©lĂ©phone,Mais quand il sonne,C'est jamais le coup de fil que j'espĂ©rais,Tu m'oublies et moi je chante,Mais si je chante,C'est seulement pour me retenir de cĹ“ur te dit je t'aime,Il ne sait dire que ça,Je ne veux pas te perdre,J'ai trop besion de toi,Mon cĹ“ur te dit je t'aime,Il est perdu sans toi,Mon cĹ“ur te crie je t'aime,A chaque fois qu'il surtout lorsque je rentre,Que tu me manques,Il faut dire que chaque soir, tu m'attendais,Et malgrĂ© ma solitude,Par habitude,Hier encore je t'ai fais chauffer du cafĂ©,Je dois perdre un peu la tĂŞte,Dans ma dĂ©faite,Je t'invente et je ne sais plus oĂą j'en suis,A nouveau tes yeux m'Ă©clairent,J'ai ta lumière en couleur sur des photos,Tu me cĹ“ur te dit je t'aime,Il ne sait dire que ça,Je ne veux pas te perdre,J'ai trop besion de toi,Mon cĹ“ur te dit je t'aime,Il est perdu sans toi,Mon cĹ“ur te crie je t'aime,A chaque fois qu'il cĹ“ur te dit je t'aime,Il ne sait dire que ça,Je ne veux pas te perdre,J'ai trop besion de toi,Mon cĹ“ur te dit je t'aime,Il est perdu sans toi,Mon cĹ“ur te crie je t'aime,A chaque fois qu'il cĹ“ur te dit je t'aime,La la la la ,la la,La la la la la la, laLa la la la, la laMon cĹ“ur te dit je t'aime... 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